29 août 2011
La Merditude des choses
"La Merditude des choses"
Dimitri VERHULST
(Denoël)
Voilà enfin un roman qu'il est possible de parcourir au grand galop. Puisque le titre (vaguement ségolénien dans sa franchouillarde version) se suffit à lui-même. Car l'histoire d'une famille flamande de "bois sans soif "n'atteint jamais le rythme qu'adoptent d'ordinaire les sprinters flahutes lors des célèbres kermesses. Du lent, du lourd, de l'inconsistant qui a beaucoup ennuyé le Lecteur.
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