13 février 2017
Crue
« Crue »
FOREST Philippe
(Gallimard)
Roman gnangnanteux. Toutefois servi par une écriture académiquement irréprochable. Ce qui n’a évidemment pas suffi à convaincre le Lecteur. Qui observa la montée des eaux à la périphérie d’une cité sans nom. Crue qui intervint après que le narrateur eût longuement expliqué le pourquoi de sa modeste présence en ce quartier populaire, là où il se lia d’amitié avec un matou avant que de vivre une brève passion nocturne avec une pianiste. Du convenu. Une lecture post-réveillon qui eut toutefois l’avantage d’engourdir le Lecteur et de l’enclore dans de longues périodes d’un sommeil réparateur.
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