23 septembre 2016
Les désertés
« Les désertés »
MANCASSOLA Marco
(Gallimard)
La côte californienne. Un monastère ouvert à tous les vents. Pour qui veut bien s’y arrêter et prendre sa part des menus travaux domestiques. Le narrateur, par exemple, qui déserta Milan en ces années du berlusconisme triomphant. Seul, désargenté, il s’essaie à redonner un sens à son existence. L’irruption au couvent d’un de ses anciens amis le poussera vers des aventures « extraordinaires ». Des aventures qui lassèrent bien vite le Lecteur, très peu réceptif à un roman si semblable à tant de ceux qui exaltent la société des critiques si volontiers soumise aux exigences des grands épiciers de l’édition.
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