13 août 2012
Bienvenue à Oakland
« Bienvenue à Oakland »
WILLIAMSON Eric Miles
(Fayard)
Comme un reflet “républicain” de l’Amérique contemporaine. A travers le regard d’un exclu, d’un privé de rêve. Le type même de reflet qui irrite le Lecteur par ailleurs insensible au mode narratif. Du roman noir, certes. Mais d’une noirceur non innocente, chargée de nourrir l’idéologie dominante, celle de la soumission.
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