Stabat Mater

« Stabat Mater »

SCARPA Tiziano

(Bourgois)

Recueillie à sa naissance dans un couvent, Cecilia tient dès son adolescence une sorte de journal dans lequel elle s’adresse à la mère inconnue et où elle dialogue avec la « tête aux cheveux de serpent ». Mais elle est également initiée à la musique et à la pratique du violoncelle par un vieil abbé, lequel devenu sénile sera remplacé par un autre abbé, beaucoup plus jeune celui-là, un homme aux cheveux roux, un certain Vivaldi. Un court roman qui constitue certes une ballade dans l’univers musical italien du 17° siècle, mais qui témoigne à sa façon sur les souffrances que génère la quête de l’identité. D’une bien belle façon ? Le Lecteur n’en est pas certain. Mais d’une façon qu’il l’a parfois passionné.