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Lectures
4 octobre 2011

JEAN VERDURE

Bédarieux.
Dimanche 25 septembre.
Retenu par ses obligations d'organiste en l'église Saint-Alexandre, l'Edile de la commune n'a pu participer à l'hommage qui fut rendu à Jean Verdure.
Normal: l'hommage avait été fixé à l'heure où l'homme de dieu distribue à ses ouailles les hosties parfumées au Ricard.
Une distribution qui requiert les talents de l'organiste.
(Ricard sponsorise tout, sauf les hommages aux poètes disparus.)
Qu'importe, après tout, que l'Edile ait été absent.
Les présents ouïrent, eux, les beaux mots du Poète.
Des mots bien agencés.
Des mots d'une lumineuse humanité.
Et qu'importe aujourd'hui qu'à l'instar de l'auteur de ces lignes Jean Verdure se fût "trompé cent mille fois de route", sa poésie chante ce qu'il y a de meilleur.
L'amour.
La fraternité.
Entre autres.
Les mots du Poète s'installent dans leur relative mais bien réelle éternité.
Les livres, ceux qu'il a composés, ne sont pas près de se refermer.
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